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 " La chute n'est pas fatale ; on est fortes, on survivra. C'est comme ça. " END.

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Antigone B. O'HaraWolf
Antigone B. O'Hara
Année : 1ère année
Date d'inscription : 25/08/2016
Messages : 40

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MessageSujet: " La chute n'est pas fatale ; on est fortes, on survivra. C'est comme ça. " END.   " La chute n'est pas fatale ; on est fortes, on survivra. C'est comme ça. " END. Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 15:47



Antigone Orpha O'Hara

Informations
◄ Nom ►
O'Hara. C'es celui de sa mère adoptive, qu'elle a gardé après sa mort.
◄ Prénom ►
Anna. Il ne lui évoque rien, elle ne s'en sert pas. Et elle a gardé le nom '' Antigone Blanche '' que lui avait donné son agresseur et sa mère adoptive.
◄ Âge ►
17 ans.
◄ Nationalité ►
Japonaise.
◄ Orientation ►
Pansexuelle.
◄ Groupe ►
Pensionnaires.
◄ Métier/Etudes ►
Sportive.
◄ Plutôt côté ►
Rebelle
◄ Particularité ►
Elle a des petites tâches de rousseurs sur le visage, et sur les bras.
Irl
◄ Pseudo ►
Isadora.
◄ Où nous as-tu trouvé ? ►
Je vous avais vu il y a un moment, mais une amie m'a convaincue de m'inscrire.
◄ Avis ? ►
C'est simple, mais c'est joli.
◄ Avatar ►
Ariel ; The Little Mermaid
◄ Code du règlement ►
Validé par Haya~

Descriptions
Cheveux ► Roux.
Yeux ► Bleus.
Taille ► 1m61.
Poids ► 56 kg.


Confiante ; curieuse ; gentille ; aventureuse ; joyeuse ; vive ; impétueuse, romantique ; entêtée ; spontanée ; intelligente ; porte une carapace et un masque d'acier ; elle se fait passer pour une femme forte, mais elle est aussi sensible et douce qu'un chaton ; agit comme une rebelle - une salope - pour cacher sa sensibilité ; tsundere.


«  Tandis que, dans sa conscience, elle se croit coupable pour avoir forniqué avec monsieur Roux, mon élève, je tiens sa fornication pour innocente, comme n' ayant fait de mal à personne.  »

Au fond, elle n'est peut-être pas aussi pétasse qu'elle le veut bien le montrer. Au fond, elle a peut-être un cœur, contrairement à ce que semble croire certains de ses petits camarades – ou victime, communément appelé ainsi.

Peut-être, n'avait-elle, au fond, jamais vraiment souffert. Était-ce le coût de la vie en elle-même ? Était-ce un souvenir éternellement douloureux, celui d’un amant au sourire mielleux ? Personne ne saurait en dire. La souffrance est salutaire, disait-elle. Mais que voulez-vous faire ? Vous ne pouvez rien faire. Continuer de vivre votre vie, à serrer les dents en essayant de ne pas trop trébucher dans cette routine mal lunée. 

Derrière sa froideur, sa pâleur et son arrogance se cache une chaleur, une pudeur et une innocence. Derrière ses rictus hautains et ses airs de '' je pète plus haut que mon cul '' se cache peut-être un peu de douceur et de malice. Trop souvent brisée, trop souvent mutilée, elle avait désormais tapissé les parois de son cœur de briques et de ciment, espérant seulement que cela lui serve d'une carapace suffisante.

C'était stupide, un peu, sur les bords. Mais elle s'en fichait. S'attacher, c'était comme sauter en parachute tout nu. Tu sais que la chute fera mal, un moment ou à un autre. C'est radical, fatal, et tout le monde passe par là. Mais pas elle ; elle avait décidé de ne plus se laisser faire par des sentiments dérisoires.  

Il n'empêche, qu'au fond d'elle, une fois qu'on a percé sa carapace avec une petite perceuse, et beaucoup de patience, on découvre un trésor caché sous les décombres du béton. Souriante et joyeuse ; vive et gentille ; sensible et romantique ; entêtée et impétueuse ; elle est un vrai de rayons de soleils pour ses amis. Mais elle garde toujours son fort caractère.

Elle n'est pas très aimée aux yeux des autres ; stupides comme des ânes, ils ne comprennent pas sa retenue – sa timidité cachée ? - et la catégorisent, s'en vraiment prendre la peine de regarder sous ses sourires narcissiques et ses airs de salope.

Elle n'a pas beaucoup d'amis, mais elle est très fidèle, et très attentionnée envers ses proches. Elle est prête à tout pour aider ceux qu'elle aime, quitte à y perdre la vie. De toute manière, ce n'est pas comme si elle avait grand chose à perdre ...

«  Pendant longtemps j'ai imaginé que toutes les pâtissières avaient les cheveux en sucre, blond vénitien ou roux, le visage recouvert de sucre-glace, les lèvres comme des cerises confites, les yeux entourés de réglisse et le cou enroulé de papier dentelle.  »



Histoire
«  Je regardais, par contenance, le marbre de la table. Un vieux marbre roux, onctueux, où les sirops et les liqueurs avaient lentement pénétré, et que veinaient de grandes branches minérales.  »

Erreur. Erreur. Erreur. Tu n'es qu'une erreur, un ramassis de pourriture. Tu ferais mieux de mourir.

Un cri. Un silence, pesant, étrange. Puis une gifle chassa le mutisme, et un corps frêle s'écrasa par terre. Quelques insultes, quelques coups, et la porte se referme.

Elle grelotte ; elle respire faiblement ; elle a froid ; elle a mal.

Elle est effrayée ; tellement effrayée qu'elle n'ose relever la tête. Mais de quoi a-t-elle si peur ? Il est parti. Il est parti, et il ne reviendra pas avant ce soir. Elle le sait très bien ; mais elle ne peut pas s'empêcher d'avoir peur. Elle entend déjà la porte grincer, exactement comme quand il rentre, exactement comme quand il la prend sous son bras, et qu'il l'emmène dans la chambre d'à côté, dans un grand lit, la pièce plongée dans le noir.




«  La petite Anna a été enlevée il y a trois jours. Elle porte des vêtements roses, et ses cheveux sont roux. Merci d’appeler si vous êtes témoin de quelque chose » Biiip.

Elle ne se rappelait que très bien des conséquences de son enlèvement. Dans les moindres détails.

Elle était assise dans la cuisine, l'ampoule clignotait frénétiquement, comme si elle allait bientôt s'éteindre. Devant son nez, une tartine rapidement tartiné de pâte chocolaté du magasin le moins cher. Pas du Nutella ; c'était pour les riches, le Nutella.

La pâte tartinée avait un goût un peu amer, elle était périmé depuis quelques jours déjà, mais comme la moisissure n'avait pas encore apparue, elle avait jugé ça mangeable.

Elle croqua dans sa tartine, s'en mettant sans faire exprès sur le bout du nez. Puis, la dispute éclata dans la pièce d'à côté. Habituée, elle n'écouta pas, se concentrant à mastiquer le pain trop dur dans sa bouche. Pourtant, quelques brides de conversations lui vinrent à l'esprit.

— Anna et toi n'êtes que des bouffeuses de fric ! J'en ai marre de tout le temps devoir garnir votre petit cul !


Elle poussa un soupir. Toujours les mêmes sujets, toujours les mêmes disputes. Éternellement.

— Cette sale gosse n'est même pas de moi ! Tu m'as trompée, tu m'as ramenée ta gamine pouilleuse, et tu oses encore me demander de lui payer de quoi vivre ? C'est n'importe quoi ! Tu n'es qu'une catin !

Un cri, puis un autre cri, et quelques bruits de coups. Elle soupira, encore une fois. Une fois sa tartine finie, bien qu'encore affamée, elle porta son assiette dans l'évier débordant, pris son sac posé sur le pied de la table, et quitta la maison en silence.

Elle se rappelait la douleur qu'avait ressenti son cœur ; c'était tous les jours ainsi, mais c'était à chaque fois douloureux. On ne s'habituait jamais, n'est-ce pas, à la douleur que l'on ressentait quant on était rejeté ? Elle se rappelait avoir eu envie de mourir, si fort, qu'elle avait failli s'élancer sous une voiture.

Une grande voiture noire, oui. Qui s'était arrêtée alors qu'elle allait sauter. Un homme en était sorti, il l'avait attrapé et jetée à l'arrière, tandis qu'un autre s'était occupé de la bâillonnait et de l'attacher.

Elle qui croyait que son enfance était un cauchemar ; elle n'avait pas encore vu ce qui l'attendait. Elle avait 6 ans. Elle s’appelait Anna Yume. Elle était plus mature que les gamins de son âge, c'était un fait. Et elle comprit tout de suite, la tête collée contre le siège, qu'elle s'était enfoncée plus que dans la merde.




Son ravisseur était gentil, parfois ; il était soucieux et attentionnée. Du moins, elle le voyait comme ça, plutôt que comme un type violent et en chien sur elle. Elle supportait ses coups, elle ne bronchait pas quand il relevait sa jupe, et elle souriait quand elle avait envie de pleurer. Il fallait être forte, très forte. Mais elle ne l'était pas.

Elle avait peur. Terriblement peur qu'elle en tremblait de tout son corps ; et même ses dents en claquaient. Elle pleurait en silence, les perles d'eau coulant sur son visage tacheté.

«  Antigone  » il l'avait appelée. Parce qu'elle était une tragédie, disait-il. Elle était rousse, simplement. Comme l’héroïne de mythologie dont il semblait raffoler.

Une fois, elle avait demandé à son ravisseur pourquoi il l'avait choisi elle. Elle n'était pas très jolie, pas très sportive – ça se voyait sur ses hanches et ses fesses – et ses cheveux étaient un amas incoiffable de folie et de volume. Elle ne ressemblait à rien, rien d'autre de plus qu'un tas nauséeux roux.

Il lui avait répondu qu'elle lui avait plu, justement parce qu'elle se démarquait de ses différences. Elle avait alors souri, oubliant presque qu'il l'avait séquestré depuis des années durant dans sa cave.

— Antigone, disait-il, si tu es sage aujourd'hui, je te laisserai venir regarder la télé avec moi.

Attentionné, peut-être. Gentil, non. Il était violent, et elle était là pour qu'il puisse se déverser – dans tous les sens du terme. Son visage enfantin était marqué par les coups de poings, son corps tâchés d’hématomes violacés. Mais elle souriait, elle souriait toujours, car il disait qu'il préférait quand elle souriait.

Et elle faisait ce qu'elle disait, car son seul monde était cette cave répugnante, et son seul modèle était ce pédophile malsain. Elle ne lui en voulait pas ; elle l'aimait, à ça façon.




Lorsqu'elle eut 10 ans, elle eut une occasion de s'enfuir. Elle était dans le jardin, coupant les rosiers épineux, et lui, tondait la pelouse comme si de rien n'était. Il faisait chaud, si chaud, et Antigone avait rassemblé sa tignasse en une vulgaire queue de cheval. Il faisait chaud, énormément chaud, et son partenaire s'était arrêté un instant pour rallumer la machine qui avait planté. Accroupi dans l'herbe, lui tournant le dos, il n'y avait pas de meilleure occasion.

Alors sans réfléchir, elle se mit à courir, courir très vite et très loin. Elle ne se retourna pas ; elle avait peur de le voir surgir d'un buisson et lui sauter dessus. Elle ne voulait plus vivre ça, même si ... Même si elle l'aimait. C'était un amour bizarre, une affection malsaine. Il était la seule personne qu'elle avait côtoyée. Il était son quotidien. Et elle courrait, elle courrait au loin. Elle fuyait son quotidien, et brisait la routine.

L'adrénaline lui montant à la tête, lui donnant la force de courir plus vite, plus loin, elle finit par entrer dans la première maison qu'elle trouva. Elle entra en trombe, sans prendre la peine de sonner. Les habitants la regardèrent bizarrement.

— Aidez moi ! Mon ravisseur va revenir ... il va ... Il va ....

Sa voix était rauque, comme si elle n'avait pas parlé à quelqu'un depuis des lustres. Les larmes coulèrent sur son visage. Et ses «  sauveurs  » réagirent très vite.

— Comment t'appelles-tu, petite ?

Elle secoua la tête, les yeux révulsés, regardant frénétiquement la porte, comme si son ravisseur allait revenir.

Puis, elle réfléchit un instant. Elle était libre. Libre.

— Je m'appelle A .... Anti ... gone ?





L'année suivante, tout se passa très vite. Les policiers la reconnurent grâce à sa fourrure de feu. Elle s'appelait Anna Yume. Elle avait désormais 11 ans. Sa mère était morte de chagrin un an après son enlèvement, et son père n'avait pas été reçu depuis le décès. Elle était seule ; seule pour affronter ce monde qu'elle ne connaissait pas. Elle voulait retourner dans sa cave. Elle voulait retourner avec son ravisseur.

Mais il était introuvable, il avait fui. Et Antigone n'arrivait pas à donner son nom. Elle l'avait sur le bout de la langue, mais quelque chose la bloquait lorsqu'elle voulait le dire. Elle ... ne pouvait pas, tout simplement. La description physique qu'elle avait faite de lui était vague ; mais la police n'avait pas insisté. Elle avait un choc mental, disaient-ils, peut-être bien qu'elle était un peu folle.

Très vite, elle fut placée de famille d’accueil, en famille d’accueil. Mais son mutisme, son regard vide et ses absences effrayés les autres, et tout le monde finit par la virer.

Son cœur saignait. Mais son visage restait de marbre.


Un jour pourtant, lorsqu'elle eut 13 ans, une vieille femme décida de l'adopter. Veuve, habitant dans un grand manoir trop vide, avec un chat, sans enfant pour lui tenir compagnie, elle s'était étrangement attachée à Antigone.

Les premiers temps, la vieille – Elizabeth elle s'appelait – parlait sans cesse, et Antigone l'écoutait, la fixant de son regard mort, espérant lui faire peur. Elle n'avait pas envie de se battre, pas envie de remonter à la surface. Mais étrangement, Elizabeth réussit à la faire remonter. Elle était comme une bouée qui l'avait sauvée au moment où elle allait se noyer.

Très vite, les deux femmes devinrent très proches. Elizabeth lui donna un autre nom ; Blanche, et l'adopta officiellement, la reconnaissant comme son unique fille. Elie lui apprit tout ce que Blanche n'eut pas le temps de faire. Elle était intelligente, très perspicace, et probablement promise à un grand avenir.

3 ans, oui, c'est le nombre d'année qu'elle passa avec Elizabeth. Elle passait probablement les plus beaux jours de sa vie.
Mais tout bonheur est court, tout bonheur a une fin.

Et cette fin, c'est le cancer.





Silence. Silence. Pas un sourire, pas une once de joie dans le regard. Pourquoi. Pourquoi oui, la vie s'acharnait-elle à ce point ?

Elle refoula ses larmes ; Elizabeth avait dit que les larmes étaient inutiles, et qu'elle était trop émotive. Mais elle était morte désormais. Derrière elle, elle laissait plusieurs choses. Une Antigone brisée, et une fortune colossale qui revenait à la rouquine.

16 ans. Elle avait 16 ans, et elle était à nouveau lâchée en pleine nature ; seule. Mais cette fois, ce fut différent. Cette fois, on ne la reconduisit pas dans un énième orphelinat. Cette fois-ci, on la conduisit dans un foyer. Une école, qui devait lui permettre de retrouver goût à la vie.

Qui sait, peut-être aura-t-elle un peu plus de chance dans cette école, que dans le reste du monde ?

« Roseaux dont les hampes sèches et les aigrettes fanées de l' an passé suspendent une sorte de nuage roux au-dessus des fraîches lances vertes.  »



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Hayate ShiwasaPersonnel
Hayate Shiwasa
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MessageSujet: Re: " La chute n'est pas fatale ; on est fortes, on survivra. C'est comme ça. " END.   " La chute n'est pas fatale ; on est fortes, on survivra. C'est comme ça. " END. Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 15:58

ARIEEEEEEEEEEEEEEEEEEL :weee: /PAN/
Bienvenue parmi nous mademoiselle !

Juste un truc : Pourrait-tu mettre un titre moins long s'il te plait ? o: Comme tu peux le remarquer, le codage des sujets fait que... Bah ça fait un gros pavey :ooooh: donc ce serait cool de le réduire un peu, merci ! ♥️

Bon courage pour l'écriture de ta fiche ! :smileee:
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Antigone B. O'HaraWolf
Antigone B. O'Hara
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MessageSujet: Re: " La chute n'est pas fatale ; on est fortes, on survivra. C'est comme ça. " END.   " La chute n'est pas fatale ; on est fortes, on survivra. C'est comme ça. " END. Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 16:07

OUIIIII ARIEL. Héhé je vais détruire le personnage /pan ♥️

J'ai changé le titre, c'est dommage, je trouvais cette " petite " citation bien sympa. Quand j'avais vu le pâté de dix lignes que ça a fait, j'en cherchais une nouvelle mais tu as été plus rapide cc:

Merci merci nishihi ♥️ :waah;
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MessageSujet: Re: " La chute n'est pas fatale ; on est fortes, on survivra. C'est comme ça. " END.   " La chute n'est pas fatale ; on est fortes, on survivra. C'est comme ça. " END. Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 16:08

Il manque plus qu'un petit "En cours" ou "UC" et ce sera PERFECT 8D
Ahaha, désolé ! Au pire tu peux mettre ça sur ta signature ! :smile:

Ah mais pas de soucis, fais nous une petite rebelle, c'est très bien comme ça aussi~ :hehe:
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Antigone B. O'HaraWolf
Antigone B. O'Hara
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MessageSujet: Re: " La chute n'est pas fatale ; on est fortes, on survivra. C'est comme ça. " END.   " La chute n'est pas fatale ; on est fortes, on survivra. C'est comme ça. " END. Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 16:11

Je l'ai mis dans mon histoire, ça correspondra très bien " La chute n'est pas fatale ; on est fortes, on survivra. C'est comme ça. " END. 3723883307


Héhé, je continue tout ça, en espérant que ma rebelle vous plaira :huhu: :hehe:
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Antigone B. O'HaraWolf
Antigone B. O'Hara
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MessageSujet: Re: " La chute n'est pas fatale ; on est fortes, on survivra. C'est comme ça. " END.   " La chute n'est pas fatale ; on est fortes, on survivra. C'est comme ça. " END. Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 18:41

J'ai finiiiiiiiiiiii ! 8DDD

Bon ok, c'est pas super, on va pas se mentir. xD
Mais j'ai plus l'habitude de développer mon personnage en rp, je verrais tout ça dans la suite ♥️ comme inclure mon ravisseur en prédef huhu je suis folle

Par contre, je me suis trompée à l'inscription et j'ai mis un '' R '' alors que c'est un '' B '' ;c Un gentil petit staffien qui peut juste changer ma lettre ? Je vous aime ♥️ ( Antigone B. O'Hara donc )

Merciiii :hug:
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Hayate ShiwasaPersonnel
Hayate Shiwasa
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MessageSujet: Re: " La chute n'est pas fatale ; on est fortes, on survivra. C'est comme ça. " END.   " La chute n'est pas fatale ; on est fortes, on survivra. C'est comme ça. " END. Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 18:55

Fiche validée !

Oh god j'ai trop adoré wsh DD8 Je te valide avec grand plaisir ♥ \O/

Dorénavant, tu peux aller :

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Et amuse toi bien sur Disturbed Mind ! :-D

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MessageSujet: Re: " La chute n'est pas fatale ; on est fortes, on survivra. C'est comme ça. " END.   " La chute n'est pas fatale ; on est fortes, on survivra. C'est comme ça. " END. Icon_minitime

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