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 Doraleen L. Dawn ♦ „ Que vois-tu en mes yeux ? “ [Terminé]

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AuteurMessage
Doraleen L. DawnDeer
Doraleen L. Dawn
Age : 26
Année : 3ème année.
Emploi/Etude : Spécialité artistique.
Date d'inscription : 21/08/2016
Messages : 8

Doraleen L. Dawn ♦ „ Que vois-tu en mes yeux ? “ [Terminé] Empty
MessageSujet: Doraleen L. Dawn ♦ „ Que vois-tu en mes yeux ? “ [Terminé]   Doraleen L. Dawn ♦ „ Que vois-tu en mes yeux ? “ [Terminé] Icon_minitimeDim 21 Aoû - 1:12


Doraleen L. Dawn

Informations
◄ Nom ►
Dawn.
◄ Prénom ►
Doraleen Lee.
◄ Âge ►
18 ans.
◄ Nationalité ►
Anglaise.
◄ Orientation ►
Pansexuelle.
◄ Groupe ►
Pensionnaires.
◄ Métier/Etudes ►
Artistique. (infographie)
◄ Plutôt côté ►
Neutre.
◄ Particularité ►
Doraleen ne parle presque plus depuis le jour où sa vie a totalement changé, on pourrait même croire qu'elle est muette. L'entendre parler est très rare.
Irl
◄ Pseudo ►
Saiyran
◄ Où nous as-tu trouvé ? ►
Par le partenariat avec un autre forum, lui-même partenaire avec un forum où je suis.
◄ Avis ? ►
J'aime beaucoup le design épuré et le contexte, beau travail !!
◄ Avatar ►
Saber Alter – Fate Series
◄ Code du règlement ►
Validé par Haya~

Descriptions
Cheveux ► De longs cheveux blond platine toujours attachés en un chignon se terminant par une tresse enroulée autour, le tout tenu par un ruban violet.
Yeux ► D'une jolie couleur ambre naturelle et très rare.
Taille ► Plutôt une taille standard du haut de ses 1m66, ni trop grande ni trop petite, avec une carrure assez svelte, parfaite pour se déplacer rapidement.
Poids ► Poids moyen de 49kg, pas trop légère, malgré sa carrure, à cause de ses petits muscles un peu développés qui lui donne plus de force.

Qu'est-ce qu'un sourire ? Toi-même, tu l'ignore. Cela fait bien des années que tes fines lèvres n'ont pas changé d'expression, affichant toujours un regard froid et inexpressif. Tu ne montres pas tes émotions, et tu te contentes de fixer les gens lorsqu'ils viennent te parler. À tel point qu'on pourrait penser que tu n'es qu'une sorte de poupée, ou un robot, une personne morte à l'intérieur. Tu es devenue beaucoup plus distante avec les autres personnes t'entourant, et tu préfères rester dans ton coin sans te faire remarquer. Le peu de personne qui vient t'interpeller perd toute envie de te connaître en voyant que tu ne réponds pas, ou que tu n'accordes aucune importance à ce qu'il peut se dire.

Et pourtant, tu ne dis rien, mais tu écoutes. Tu es devenue presque muette il y a quelques années, et cela ne s'est pas arrangé avec ton entrée dans le foyer. Être muette est d'ailleurs plus aventageux pour toi, car au moins, on ne te blâme de ne faire aucun effort pour aller voir les autres et t'intégrer dans la future société. Même si cela va contre les objectifs de ton cursus scolaire dans le foyer, tout le monde croit que tu es vraiment muette, et on ne peut pas décider du jour au lendemain de refuser le diplôme d'une personne souffrant d'un handicap, cela ternirait la réputation du foyer. De ce fait, on te considère souvent comme quelqu'un d'asocial.

Puisque tu ne parles pas, tu prêtes toujours une oreille attentive à ce qu'il se dit. Lorsque quelqu'un vient te parler, tu l'écoutes, même si cette personne n'en a pas l'impression. Cela te fait rire intérieurement, lorsqu'un pensionnaire vient se plaindre ou te confier un secret parce qu'il sait que tu ne peux pas le répéter. Tu réfléchis toujours avant d'agir, et tu n'es pas quelqu'un de turbulent. Tes actions sont réalisées avec précisions, et même ta démarche est contrôlée, posée et lente. Comparé à ce qu'on pourrait penser, tu écoutes sans problème les cours, et tu es sérieuse dans tes révisions. Il est hors de question de rater un examen, d'arriver en retard, ou de s'endormir pendant un cour, puisque c'est la seule chose qui rythme ta vie.

Même si tu sembles froide, tu n'es pas quelqu'un de possessif, jaloux, ou même radin. En fait, tu te fiches même de ce qui t'appartient, ou qui ne t'appartient pas. De toute façon, une fois intégrée à la société, tu es consciente que rien ne t'appartiendra totalement. Même si tu devenais propriétaire de ta maison, il y aura toujours quelque chose que tu ne pourras contrôler à l'intérieur, l'argent que tu gagneras ne restera pas pour toujours dans ton compte bancaire, tes vêtements s'useront, tes appareils grilleront souvent, au final, ta vie ne t'appartiendra pas vraiment.

Malgré ton caractère qui te pousse à rester à l'écart, tu apprécies les petites choses simples de la vie, comme par exemple un bon petit-déjeuner anglais ainsi que du thé en observant la neige se poser doucement sur le sol ou sur les vitres, ou encore te blottir dans les couvertures. Tu adores lire et dessiner, et la plupart du temps, tu restes sur ton ordinateur, à flâner sur le premier logiciel qui vient, le stylet de ta blette entre les doigts.

Histoire
Comme c'est si facile de détruire une vie en seulement peu de temps.

Il serait beaucoup trop long d'expliquer dans quelles circonstances tu es venue au monde ; alors en abrégeant, tu es née d'un mariage arrangé, entre un marquis anglais et une comtesse française. De cette union naquirent deux enfants. Tout d'abord, ton aîné, un jeune garçon plein d'énergie, et ensuite, toi, jeune demoiselle frêle et souriante. Votre éducation fut assez stricte, mêlant la maîtrise de l'anglais, du japonais et du français couramment avec beaucoup de mathématiques, de littérature et d'économie.

Votre père travaillait souvent, et vous n'aviez pas vraiment le temps de le voir. Alors votre mère s'occupait de vous, entre deux "tea party" où elle invitait toutes les commères du quartier, mais elle était stricte, beaucoup plus stricte que votre père. Une impatiente envieuse. Si l'envie d'un objet spécifique lui prenait, il le lui fallait dans la minute qui suit. Tu essayais de grandir, tout en jouant la petite princesse, imitant ta mère. Hélas, quand tu demandais quelque chose, la réponse était toujours négative, et l'on t'envoyait dans ta chambre pour réfléchir à tes paroles. Très vite, tu compris que ce n'était pas une bonne idée. Tu n'allais pas être une princesse pleurnicharde qui ordonne tout, mais une princesse avec plein de bonté comme dans les livres que ta mère t'interdisait de lire parce qu'elle les considérait comme stupide, mais que ton frère te contait en cachette, le soir, avant de t'endormir.

Ah, ton frère, tu l'admirais beaucoup. Tu le suivais toujours lorsque vos parents étaient occupés, et à deux, vous faisiez les quatre cents coups. Mais vous n'étiez pas méchant, et vous alliez souvent demander des sucreries à la nourrice qui s'occupait de vous, et qu'elle vous donnait en cachette, toujours en répétant que "Cette fois, c'est la dernière, Madame ne veut pas que vous mangiez trop de sucre."

Et vint le moment où ton frère entra au collège. Il n'était plus là, lui non plus. Tes parents l'avaient placé en internat, car la prestigieuse académie était assez loin. Tu te retrouvais toute seule, à prendre le thé dans ta chambre avec tes peluches.

Cette vie dura quelques années, jusqu'au jour où tu entras dans une institution pour demoiselle, à côté de chez-toi. Contrairement à ton frère, tu revenais tous les jours. Et tu te souviens d'ailleurs, alors que tu n'avais que 15 ans, de cette journée pluvieuse où tout cet équilibre instauré allait s'effondrer. Tu rentrais à peine de ta journée d'école, assez tard le soir, lorsque tu surpris une dispute entre tes parents dans le salon. Ta mère demandait qu'on lui trouve un travail, ainsi que partir en vacances dans un endroit éloigné, et ton père, probablement saoul, s'était énervé. Qu'allait-on dire si la comtesse travaillait ? On allait se moquer du mari. Et cela jetterai le déshonneur sur la famille. Pour faire taire sa femme qui avait haussé le ton et qui criait dans toute la maison, le père avait explosé sa bouteille contre la table, et dans un élan d'ivresse et de colère, il l'avait envoyé sur la femme qui s'effondra quelque temps après, dans une petite flaque d'un liquide rougeâtre.

Tu n'étais pas stupide. À moins qu'un miracle ne vienne, ta mère n'allait pas se réveiller. Un des morceaux s'était profondément enfoncé dans le cou, coupant quelques veines et artères. Elle était probablement déjà morte. Choquée et les larmes aux yeux, tu t'étais enfuie de cette maison. Qu'allait faire ton géniteur s'il t'avait trouvé alors que tu avais assisté à toute la scène. Tes jambes te portèrent jusqu'au pont reliant le quartier au centre-ville de Londres. Il faisait nuit noire, et tu tremblais. Essayant de te calmer, tu marchais lentement, sans prendre attention à ce qui t'entourait, et sans voir l'homme qui t'attira dans une ruelle sombre avant d'essayer de t'enlever. Trop, c'en était trop pour toi, et après une lutte acharnée pour te défendre et ne pas tomber entre les griffes de ton agresseur, tu lui avais lancé une pierre de toutes tes forces avant qu'il ne se retrouve à terre.

Il ne bougeait plus. Et tu ne voulais pas savoir s'il était encore en vie ou pas. Tu t'étais enfuie en courant, retournant du côté de ta maison. Au final, tu restais non loin de ton propre toit, au cas où quelqu'un d'autre viendrait pour toi, et te mis en lieu plus ou moins sûr. Ton corps tremblait à l'idée d'avoir peut-être tué cette personne qui n'avait pas prévu que sa vie se terminerait de cette façon. Plus tu y pensais, et plus tu te disais que tu ne valais pas mieux que ton père.

Le soleil pointant le bout de son nez, une voix familière te réveilla. Celle de ton père, qui avait l'air mort d'inquiétude et qui te serrait dans tes bras. À ce moment, tu te remémoras ce qu'il avait fait la veille. Lorsqu'il te demanda pourquoi tu n'étais pas rentrée, tu avais simplement dit que tu avais oublié tes clés dans ta chambre, et que tu n'avais pas pensé à sonner pour qu'on te laisse entrer.

Ce jour-là, tu n'es pas allée à l'école, et tu as attendu le soir, le moment où ton père lit dans son fauteuil, au coin du feu, pour te précipiter derrière lui, sans bruit, une lame dans la main. Même si tu aimais ton père, ce qu'il avait fait à ta mère ne faisait que te hanter, et tu avais peur pour ta propre vie. Ce fut peut-être ton hésitation qui te précipita à ta perte. Tu avais approché ta lame du cou de ton géniteur, et tu t'apprêtais à donner le coup de grâce pile en dessous de la chevelure lorsque ce dernier prit un ton neutre et calme.

"Ils ont retrouvé un homme blessé dans une ruelle de Londres, ainsi que l'arme de l'agresseur qui était une pierre. Tes empreintes étaient dessus.
Beaucoup de gens touchent les pierres, ce n'est pas si étonnant que mes empreintes soient dessus, si ?
Que faisais-tu là-bas hier soir ? Ne me mens pas, je sais que c'est toi."

Ton père ne te regardait même pas, il attendait seulement une explication.

"Il m'a agressé. Je n'ai fait que me défendre.
Que faisais-tu dehors ?"

Toujours cette même question. Si tu lui répondais, tu étais sûre et certaine qu'il découvre que tu as assisté à la scène. Tant pis.

"Je vous ai vu, mère et toi. J'ai eu peur, je me suis enfuie. Cet homme voulait m'enlever, mais j'ai réussi à l'assommer avec une pierre." Le manque de réponse de ton père te fit presque pleurer, tu ne voulais vraiment pas perdre tes deux parents, mais il était trop dangereux, et il avait commis un crime, il devait payer. Hésitant encore un peu, tu finis par planter la lame dans la tempe, avant de t'excuser entre deux sanglots.

Le coup fut fatal. Ton père ne bougeait plus, ne parlait plus. Tu ressuyais rapidement l'arme avant de la placer dans la main de ton géniteur, et finit par appeler une ambulance. Une enquête fut menée, et fut jugée et clôturée comme étant un meurtre-suicide. Cependant, personne n'avait prévenu ton frère, et tu préférais lui envoyer un courrier comme quoi un homme était rentré par effraction et avait les avait tués tous les deux.

L'homme que tu avais envoyé à l'hôpital décéda d'une hémorragie cérébrale, et on t'arrêta. Après un long procès où tu expliquas qu'il t'avait agressé, tu avais été reconnue coupable, mais ce n'était que de la défense. Plutôt que de t'envoyer dans une prison pour mineure, on décida d'étouffer l'affaire, l'honneur de la famille ayant déjà pris un sacré coup, envoyer la jeune fille en prison n'allait pas aider, et de t'envoyer dans une maison de redressement avec pour cause la violence.

Depuis ton arrivée dans le foyer quelques jours après ton anniversaire, tu ne parles plus. Tu préfères ne plus te faire d'amis ou de proches, le traumatisme de la mort de tes parents et de l'agression encore fraîchement gravé dans ta mémoire. Rapidement, tu as appris à camoufler tes sentiments, et plutôt que de montrer une infinie tristesse, tu restes de marbre.



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Hayate ShiwasaPersonnel
Hayate Shiwasa
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Doraleen L. Dawn ♦ „ Que vois-tu en mes yeux ? “ [Terminé] Empty
MessageSujet: Re: Doraleen L. Dawn ♦ „ Que vois-tu en mes yeux ? “ [Terminé]   Doraleen L. Dawn ♦ „ Que vois-tu en mes yeux ? “ [Terminé] Icon_minitimeDim 21 Aoû - 11:10

Fiche validée !

Bienvenue parmi nous ! J'aime beaucoup ton personnage, j'ai bien aimer lire l'histoire... La pauvre ! D:

Dorénavant, tu peux aller :

Recenser ton avatar {ici}
Recenser si tu es un DC {ici}
Créer ta fiche de lien {ici}
"Recevoir" ton smartphone{ici}
Demander une chambre ou un logement {ici}
Demander un/des RP {ici}

Et amuse toi bien sur Disturbed Mind ! :-D

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Ethan LombardiDeer
Ethan Lombardi
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Année : 3ème
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Doraleen L. Dawn ♦ „ Que vois-tu en mes yeux ? “ [Terminé] Empty
MessageSujet: Re: Doraleen L. Dawn ♦ „ Que vois-tu en mes yeux ? “ [Terminé]   Doraleen L. Dawn ♦ „ Que vois-tu en mes yeux ? “ [Terminé] Icon_minitimeLun 22 Aoû - 9:11

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MessageSujet: Re: Doraleen L. Dawn ♦ „ Que vois-tu en mes yeux ? “ [Terminé]   Doraleen L. Dawn ♦ „ Que vois-tu en mes yeux ? “ [Terminé] Icon_minitime

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